par Adehoum Arbane le 09.10.2007 Ron Asheton, lui, impavide déploie tout son talent (restreint) pour envoyer du bois et du bruit tandis que Scott Ashton rivé à ses fûts, frappe de façon métallique. Tous les vieux morceaux y passent à commencer par Loose puis Steve Mackay rejoint le groupe pour une série de morceaux illuminés par son sax livide. Superbe. Vraiment bien pour quatre vieux sur le retour (en grâce). Merde, c’est fort, c’est bon, ça sent la sueur et le rock, le fer et le feu, on est à l’usine, au cœur du Michigan, les rouages électriques hurlent à mes oreilles et celles-ci se mettent à bander, les petites traînées, elles se dressent, se tordent dans un mouvement de chair malaxée, comme dans un vieux Cronenberg.
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