par Adehoum Arbane le 08.11.2007 Tambourin rivé sur la tête en guise de couronne, gueule hilare, voilà que déboule l’organiste fou des Agency tel un Arthur Brown satanico-pyrotechnique, il dansait, plié sur les touches de son clavier, tirant des notes stridentes et droguées, moi, j’étais au bord de la scène avec les artistes, les amis, les groupies, et même Louise des Plastiscines qui, perchée sur des jambes interminables de déesse pop, balançait un visage à la Nico, encadré de chevelures noires sombres, aussi raides que l’assistance toute entière. Les compositions s’enchaînaient sans véritable règle, Sourya + The Agency, The Agency + Sourya, ces derniers évoluant sur un mode plus magnétique là où les Agency agençaient leurs délires acidulés, quelque peu barrés dans un autre espace-temps
Lire