par Adehoum Arbane le 06.07.2021 Bourvil a longtemps joué les gentils, les naïfs, les maladroits puis, par désir personnel et sous l’impulsion de Melville, il enfila le costume de commissaire ombrageux dans Le cercle rouge. Lino Ventura, lui, semble avoir toujours interprété des rôles de doux-dur, du tonton flingueur, mais bienveillant, au commissaire inflexible, parfois saisi par le doute. Comme si l’acteur avait été imperméable au temps, aux modes, libre au fond. La musique, et plus particulièrement la pop, est un domaine plus fluctuant, soumis aux variations des époques qu’elle traverse...
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