Dead End Street, The Kinks
par Adehoum Arbane le 11.09.2006 dans la catégorie With bonus tracks Avec ses cuivres funestes en forme d’oraison et sa mélodie aussi accrocheuse qu’une plume noire accrochée à la bride d'un cheval de cortège funéraire, Dead End Street dresse la chronique d’une société anglaise où la vie est une voie sans issue. On est loin des paroles mièvres des gentils Beach Boys. Ici, on parle du peuple. Il y a dans ces vers quelque chose de Dickens. Une tradition purement anglaise, entre le thé à savourer et la rente à payer. Une ironie mordante qui fera de Ray Davies un vaudevilliste inimitable.
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