par Adehoum Arbane le 11.09.2006 dans la catégorie With bonus tracks L’autre facette de Ray Davies et de ses merveilleux Kinks : après le cynisme pince-sans-rire, place à la grâce douce-amère, à cette forme de légèreté solaire qui réconforte aussitôt, comme un bon thé bien chaud. Ces jours qu'il nous dépeint sont autant de petits instants précieux, miniatures joliment tournées. Quand Ray n’est plus Dickens ou WH Auden, il devient un lord Byron inspiré. Généreux et tendre.
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