The Crazy World of Arthur Brown porte bien son nom. En 1968, Fire s'impose comme un brûlot rock, morceau en forme de sabbat qui convoque les esprits (de la danse) démoniaques. Voix hallucinée aux confins du hard rock, orgue de messe (noire) et cuivres vaudou portent le sceau incandescent des grands classiques. Et pour les angelots croyant que ce beau diable d’Arthur Brown est l’homme d’un seul tube, écoutez donc l’album éponyme. Il figure parmi les meilleures formations psychédéliques anglaises (avec Pink Floyd et le Soft Machine des débuts).
http://www.youtube.com/watch?v=en1uwIzI3SE
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