Certes, il faudrait citer tous les morceaux de Sticky Fingers. Pourtant, sous la braguette débraillée qui semble faire surgir un sexe, aussi raide qu’une soirée de beuverie avec Keith Richards, se cachent des morceaux plus pudiques. Wild Horses en un et il nous parle de chevaux sauvages, de plaines éperdues, de liberté et d’amour. Derrière cette relecture fidèle des mythiques Pierres qui Roulent, un homme, un destin : Gram Parsons, cow-boy solitaire mort d’une overdose dans un motel pourri et qui rêvait d’inventer un rock psyché et authentique, typiquement américain. Porté par les plus ricains de tous les anguleux, ce souhait prend vie. Merci.
http://www.youtube.com/watch?v=UFLJFl7ws_0
Commentaires
Crosstown Traffic
05.04.2006
Ces chevaux sauvages étaient, on le sait, un hommage déglingué à la Grande Blanche...
Et pour la fin de Parsons, pour ceux que ça intéresse, checkez :
http://crosstowntraffic.zumablog.com/index.php?sujet_id=838
Joachim
08.05.2006
et Gram Parsons, il fait aussi partie du club des 27 ?